Pollution aux particules fines dans le métro de Marseille.
La pollution aux particules fines atteint un seuil considérable, selon l’organisme de surveillance de la qualité de l’air Atmo PACA.
Le taux de particules fines PM10 serait cinq fois supérieur aux seuils tolérés par les autorités sanitaires. Il y a donc 285 microgrammes de PM10 par mètre cube d’air alors que la moyenne journalière doit être de 50 microgrammes par m³. Les particules viendraient de l’extérieur, mais les freins usés et le passage de trains qui soulèvent de la poussière sont aussi des facteurs d’accumulation de cette particule. Chaque année, il y aurait des techniciens qui viendraient changer les filtres des climatisations, et ces derniers seraient dans un sale état. Les effets du PM10 sur l’organisme restent encore mal évalués, même si l’Institut National de veille sanitaire s’en méfie.
NB : Station Saint-Charles du métro de Marseille. Auteur : Clicsouris.
Le taux de particules fines PM10 serait cinq fois supérieur aux seuils tolérés par les autorités sanitaires. Il y a donc 285 microgrammes de PM10 par mètre cube d’air alors que la moyenne journalière doit être de 50 microgrammes par m³. Les particules viendraient de l’extérieur, mais les freins usés et le passage de trains qui soulèvent de la poussière sont aussi des facteurs d’accumulation de cette particule. Chaque année, il y aurait des techniciens qui viendraient changer les filtres des climatisations, et ces derniers seraient dans un sale état. Les effets du PM10 sur l’organisme restent encore mal évalués, même si l’Institut National de veille sanitaire s’en méfie.
NB : Station Saint-Charles du métro de Marseille. Auteur : Clicsouris.
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