Prédire les changements d’éco-système.
Des chercheurs ont modifié la structure de la chaîne alimentaire dans le Peter Lake dans le Winconsin en y ajoutant des poissons prédateurs.
Le but était de trouver des signaux d’alerte qui pourrait prévenir de ces changements. Ici la densité des puces d’eau et des plantes microscopiques augmentaient, les poissons chats mangeaient les puces et l’archigan à grosse bouche mangeait les petits poissons. Depuis l’introduction des prédateurs, les poissons chats se cachent dans les bas-fonds. L’expérience qui a commencée en 2008 commençait à être finalisée en 2010 avec un écosystème qui avait bien changé. L’expérience aura détruit un écosystème local, mais pourra servir à prévenir d’autres destructions grâce aux nouvelles informations récoltées. La deuxième conclusion de cette étude, c’est qu’une fois qu’une population ne sera plus en voie d’extinction (par exemple la morue), il n’est pas dit que celle-ci retourne à son habitat d’origine car d’autres animaux l’auront remplacée.
Le but était de trouver des signaux d’alerte qui pourrait prévenir de ces changements. Ici la densité des puces d’eau et des plantes microscopiques augmentaient, les poissons chats mangeaient les puces et l’archigan à grosse bouche mangeait les petits poissons. Depuis l’introduction des prédateurs, les poissons chats se cachent dans les bas-fonds. L’expérience qui a commencée en 2008 commençait à être finalisée en 2010 avec un écosystème qui avait bien changé. L’expérience aura détruit un écosystème local, mais pourra servir à prévenir d’autres destructions grâce aux nouvelles informations récoltées. La deuxième conclusion de cette étude, c’est qu’une fois qu’une population ne sera plus en voie d’extinction (par exemple la morue), il n’est pas dit que celle-ci retourne à son habitat d’origine car d’autres animaux l’auront remplacée.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
0 commentaires: